A mi-chemin entre le foot en salle et le squash, le jorkyball voit le nombre de ses pratiquants augmenter depuis quelques années.
Si ce (jeune) sport reste encore méconnu, nombreux sont ceux qui, au détour d’une conversation, avoueront avoir tenté l’expérience au moins une fois…
C’est dans une boîte en plexiglas de cinq mètres sur dix (50m²) que s’affrontent deux équipe de deux joueurs.
Le défenseur, qui ne peut pas s’éloigner de plus d’un mètre de son camp balle au pied, devra faire preuve de beaucoup d’agilité pour défendre son but d’un mètre sur un mètre.
L’attaquant, électron libre du jeu, peut apporter son soutien au défenseur ou attendre patiemment aux avant-postes que ce dernier lui délivre un ballon exploitable.
A coups de rebonds sur les murs ou sur le filet du plafond, une partie de jorkyball se joue en trois sets gagnants… Et toujours sans contact!
Intense, rapide et agréable ; ce sport convient parfaitement aux informaticiens en mal d’activité physique.
Une séance par semaine est largement suffisante…
Pensez néanmoins à avoir un minimum de maîtrise de balle et à protéger certaines parties du corps trop exposées à quelques reprises de volée mal placées…
Have fun!
et on y perd les poumons…
Première erreur à ne pas commettre : jouer en pantalon
Deuxième erreur à ne pas commettre : croire qu’un petit ballon va moins vite qu’un gros
Personnellement, je ne trouve pas ce sport épuisant…
oui c’est parce qu’il faut courir 🙂
ce n’est qu’après qu’on transpire…
En une heure cela devrait suffire pour perdre au moins 1L de sueur.