Communication non verbale…

Par ici... 19 décembre 2008

Communiquer : du latin classique communicare (« partager ») qui prit ensuite le sens de « entrer en relation avec ». Le verbe latin est construit avec le préfixe con- (« avec ») et munus (« devoir », « office », « emploi », « fonction », « tâche »).

Un des besoins les plus essentiels à la construction de chaque individu qui a un jour posé un pied sur cette terre.

Sous plusieurs formes, la communication est bien entendu essentiellement verbale ; liée à un dialecte ou à un langage.
Mais s’il est si facile de faire passer une information, c’est également parce que les mots employés sont accompagnés de gestes et de divers événements présents dans l’environnement de l’émetteur et du récepteur.
On va, par exemple, constater que la gestuelle, le regard et le positionnement du corps seront des éléments extrêmement importants lors de la transmission d’un message…

L’interprétation d’un message dépend grandement de l’apparence de son émetteur. C’est bête à dire  mais une cravate aidera grandement au moment de donner un ordre mais sera moins recommandée qu’un nez rouge pour faire rire un enfant.
Ainsi, chaque récepteur créera sans s’en rendre compte une interprétation anticipée du message qui lui sera envoyé. Et ce, rien qu’en se basant sur l’apparence physique de son interlocuteur. C’est là qu’entrent en jeu les personnes chargées de la communication…

Aujourd’hui, tout le monde fait attention à l’image qu’il véhicule. De manière plus ou moins nuancée, certes, mais en prenant le parti de se rattacher à un groupe, à une culture ou à une tradition.
C’est le boum des accessoires de mode, les boutiques en sont pleines et rivalisent d’originalité. Une simple paire de lunettes devient plus un bijou qu’un outil de santé et même les grandes marques entrent dans la danse.

Chez les hommes, les boutons de manchette font leur grand retour. Devenus inutiles avec l’arrivée des chemises à poignets classiques, ceux-ci incarnent aujourd’hui l’aspect dynamique et tendance du jeune homme d’affaires bien dans ses fringues.
Ils peuvent également servir à véhiculer des informations sur leur propriétaire : métier, loisirs, passions…
Exit les boutons classiques à chaînette du grand-père. Le bouton de manchette du 21ème siècle est un outil social.

C’est le moment de remettre aux goûts du jour cet accessoire jugé vieillot ou symbole d’une classe aisée.
Abusez-en…

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